Interview Serge Durand, 36 ans chez Samat

Après avoir fêté son 36ème anniversaire chez Samat, Serge Durand part en retraite. Toutes les équipes Samat lui souhaitent une agréable retraite. Merci pour votre investissement et votre engagement quotidien. Nous l’avons interviewé afin qu’il nous raconte son histoire. Découvrez son parcours durant toutes ces années passées parmi nous.

 

Pouvez-vous décrire votre parcours chez Samat ?

Je suis rentré chez Samat en novembre 1984 en tant que directeur financier jusqu’en 1994. Pendant les 10 premières années on a beaucoup grossi, donc il fallait faire en sorte pour le développement, qu’on assure la finance, la gestion… J’ai appris le métier du transport que je ne connaissais pas du tout. Puis je me suis occupé davantage de la structure immobilière du groupe et de la division lavage que j’ai mis en place en 1997 jusqu’en 2003. 

J’ai toujours eu envie d’apprendre, j’ai souvent commencé sans rien connaître. J’ai appris via la comptabilité, via les factures. Je regardais les factures et j’apprenais des différentes activités par ce biais.

 

Comment avez-vous vécu le quotidien face au développement rapide de Samat ?

Très occupé, toujours très occupé et beaucoup de boulot, mais toujours intéressant. Je suis toujours allé travailler content, je n’ai jamais traîné des pieds pour venir bosser.

 

Avez-vous observé des évolutions dans le métier ?

Ca a changé, la réglementation du métier a beaucoup changé, le métier lui est toujours le même. 

Au début on n’avait pas les moyens informatiques dont on dispose aujourd’hui. Je me rappelle, quand je suis arrivé ici il n’y avait pas d’ordinateur de bureau. Enfin, il y en avait un chez le président, mais c’était le seul à pouvoir s’en servir au début. Puis il a fini par me le prêter et j’ai mis en place un certain nombre de choses. Et quand on partait en déplacement j’emportais l’ordinateur, l’unité centrale, mon clavier, ma souris, pour travailler plus vite. Puis un jour, j’ai trouvé sur mon bureau un ordinateur portable. Il pesait 12 kilos, mais ça été pour moi une belle reconnaissance de la part de l’entreprise et ça m’a donné une grande souplesse dans le travail. 

 

Quel apport culturel de travailler dans une entreprise européenne ?

J’ai beaucoup voyagé, j’ai vu des tas d’endroits, des tas de gens. Forcément des esprits différents.. Les italiens ce n’est pas comme les espagnols, comme les anglais, pas comme les belges, les hollandais, tous des gens différents. Pareil en France avec les accents, les habitudes, …

 

Quel est votre ressenti sur vos années chez Samat ?

Il y a quelque chose pour moi qui est important, c’est que je me suis toujours senti comme dans une famille. 

J’ai rencontré beaucoup de gens intéressants, qui m’ont aidé et puis réciproquement que je pense avoir aidé également. J’ai toujours eu pour soucis de former des gens sur ce que je savais faire. J’ai appris beaucoup de choses ici, et il y a beaucoup de personnes qui m’ont appris.

Tout ce que j’ai fait je l’ai fait avec grand plaisir parce que ça en valait la peine. Je crois en Samat. 

 

Y a-t-il des événements qui vous ont marqué ? 

Les 10 ans de Samat en 1989 ! L’événement a été mis en place dans 4 endroits en France, donc on était en lien par radio et vidéo. Il y a eu des jeux, des buffets… C’était vraiment un moment de grande communion, un moment Samat en fait ! 

C’est la première société où je trouve qu’il y a une ambiance très familiale, où on partage beaucoup de chose. 

 

On peut dire que c’est votre meilleur souvenir ?

Je n’ai que des bons souvenirs. J’ai décalé ma retraite et je n’ai jamais regretté un seul instant d’avoir prolongé ma durée de vie chez Samat. 

 

Si on résume votre carrière en quelques mots ?

Je me suis éclaté !