La passion d’un métier, focus sur les conductrices Samat

À l’occasion de la Journée Internationale de la Femme, le 8 mars dernier, nous avons réuni, le temps d’une journée, les conductrices françaises Samat. Parmi elles, Angélique, Béatrice, Caroline, Fanny, Laetitia, Marie-Christine, Marine, Pamela, Rachel, Sandrine, Séverine, Tiphanie, Valérie et Véronique.

 

Lors de cette journée, nous avons découvert des profils tout autant uniques qu’atypiques. Pourtant, c’est une passion commune qui les rassemble : “ni plus ni moins la passion de conduire ce type de véhicule”, Marine, Samat Rhône-Alpes. 

La passion du métier anime le quotidien de chacune des conductrices Samat. Chaque jour, elles mettent en musique leur profession sur la route : attention, observation, organisation et courtoisie, rien n’est laissé au hasard. 

Homme ou femme, il n’y a pas de distinction. “Il n’y a pas d’homme/femme chez nous. Il y a une solidarité entre les conducteurs, une reconnaissance de l’employeur”, selon Sandrine, conductrice Samat Aquitaine. Elles partagent chaque jour la route avec plus de 1 000 conducteurs Samat. Ce n’est pas rare qu’elles discutent, aident ou prennent un café avec eux.

Avec un quotidien rythmé par des exigences liées au métier, les conductrices Samat ont choisi d’exercer un métier qui a du sens : un métier où chaque jour est différent. C’est pourquoi il est essentiel pour nous, de veiller au bon déroulement quotidien.

Séverine, conductrice Samat Atlantique depuis 1 an et demi en activité marchandises générales, met en avant l’association entre le métier et la vie de famille : “J’ai un mari qui roule aussi. J’ai réussi à concilier ma vie de famille avec nos métiers, dont mon contrat Samat qui fait que je commence à telle heure, pour pouvoir mettre mes enfants à l’école. J’ai trouvé génial que Samat me donne l’opportunité de reprendre mon camion pour pouvoir concilier ma vie de famille, car ça peut être un frein en tant que femme”.

Si les conductrices Samat s’épanouissent dans leur métier, c’est aussi grâce aux évolutions professionnelles possibles. Laetitia conductrice Samat Provence, en fait en ce moment l’expérience : “Ça fait neuf mois à peu près, presque 10 mois que je travaille pour Samat. J’ai commencé en porteur et là, ça fait depuis la fin du mois de janvier que j’ai le permis EC (super-lourd). Donc ça y est, je commence à partir avec des grandes citernes. J’ai fait de l’hydrocarbure et maintenant tout m’intéresse, donc je pars un peu en chimie. J’espère faire du jet et du bitume. C’est une ouverture de job qui est géniale.”

 

Peu nombreuses et venant de la France entière, les conductrices ne se croisent presque jamais. La “journée des conductrices Samat” leur a permis de faire connaissance et d’échanger sur leur quotidien. “On se sent bien dans la société, on nous met à l’aise au départ, je pense que ça aide entre nous à ce que tout se passe bien”, Tiphanie, Samat Sud Toulouse.

La proximité c’est un état d’esprit, une culture, que nous intégrons dans les principes que nous défendons. C’est pour ça que “malgré l’ampleur de l’entreprise, il y a quand même le côté humain qui est là”, Marine, Samat Rhône-Alpes. 

Bien plus que du transport, nous sommes un réseau européen, au cœur familial.

 

Propos recueillis par M.Ravit